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 Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo

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MessageSujet: Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo   Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo Icon_minitimeVen 14 Aoû - 21:20



Toi sur le forum

    Les ennuis commencent et ils sont pour moi, quelle veine !

    Marchant dans la rue d'un pas léger et rapide, je me dirigeai droit vers ce qui ressemblait une chapelle, à priori un peu délabrée, certes mais je ne fis pas attention à l'apparence funeste de ce lieu. Ce qui m'interessait c'était de parler à quelqu'un, quelqu'un de confiance. Or, le père Matthew était l'homme qu'il me fallait, malgré sa facheuse habitude à toujours vouloir vous surprotéger, même si je savais au fond de moi que c'était une façon de veiller sur moi. La nuit était silencieuse et fraîche, la lumière que renvoyait la lune donnait une atmosphère inquiétante sur la ville et me glaçait le sang. Jamais je n'avais imaginé que je devrais me rendre en un tel endroit en pleine nuit, sans personne pour me protéger, même si je n'en avais plus besoin à présent. Comment avais-je pu être si stupide, je n'aurais jamais du lui faire confiance, et surtout je n'aurais jamais du avoir peur, ne m'avait-il pourtant pas prévenu que celà déclenchait sa fureur ? Une idiote, voilà ce que j'étais ! Sortir avec un type comme lui, j'aurais du penser à tous les riques que celà engendrerait. Et bien non, je suis restée piéger dans le monde dangereux et aveugle de l'amour. Ma vie était souillée, complètement salie ! Comment allai-je m'expliquer, et surtout les gens pourraient-il encore me regarder en face après cette révélation ? J'en doutais fortement, après tout j'étais née dans un quartier très chrétien et très basé sur les codes d'éthiques du Christ. Désormais, à leur yeux je ne serais plus qu'un monstre qu'il faudrait absolument anéantir. Je me trouvai sur le palier, j'hésitai à faire demi-tour, à fuir pour ne jamais revenir. Finalement je frappa à la porte et après une bonne dizaine de minutes à attendre j'aperçus le père Davis m'ouvrir.

    - Morgane, que fais-tu ici à cette heure ? Tu as une mine horrible, que se passe-t-il ? Rentre, il fait froid dehors.

    Je le suivis à l'intérieur et il me fit prendre place sur un tabouret près de l'entrée. Si la pièce avait était plus éclairée, on aurait pu remarquer que j'avais changé. Mon teint blafard et mes yeux rouges sang en montraient parfaitementl'exemple.

    - Je dois voir le père Matthew, c'est très urgent. J'ai fait quelque chose, ou du moins, on m'a fait quelque chose. Enfin bref, je dois lui parler. Immédiatement !

    Il me regarda, l'air inquiet mais partit dans une pièce à mon opposé et quelques minutes plus tard, le père Matthew se dirigea vers moi, son peignoir trois fois trop grand pour lui, traînant à sa suite.

    - Qu'y a-t-il Morgane ? Le père Davis m'a dit que c'était urgent.

    - J'ai à vous parler, seul à seul, dans le confessional.

    Nous nous dirigeâmes vers le confessional, toujours aussi silencieux. Je ne savais pas comment expliquer ce qui m'étais arrivée. Il était sensée me comprendre et pourtant je ne cessais de me dire que quoiqu'il advienne et malgré son statut de serviteur de Dieu, je ne méritais pas de vivre, du moins si ce fut encore le cas.

    - Parlez mon enfant ! Quoique vous ayez fait, Dieu saura guérir vos peines et pardonnez vos pêchés.

    - J'en doute mon père. Celà fait longtemps que cette union me fait peur, cependant je n'ai pas su la briser. Et voilà où ça m'a mené. Vers une morte certaine et une souffrance éternelle. Eternelle, oui. J'ai lu tant d'histoires à ce sujet et je n'y ai jamais cru jusqu'à il y a une semaine. Ce n'était pas compliqué de refuser, je n'aurai pas du le suivre, je n'aurai pas du avoir peur, celà a du l'exciter, il m'a surprise, et me voilà aujourd'hui à parler de mes erreurs dans la maison du seigneur. Je ne devrais pas être ici j'en ai conscience, mais je ne savais pas vers qui me tournait. Mes parents m'auraient probablement déjà tué à l'heure qu'il est. Ils sont tellement croyants. Non pas que je méprise la foi, loin de là, mais ils ont tendance à juger les personnes trop vite. Je vois dans vos yeux que vous vous demandez pourquoi je m'exprime ainsi et pourquoi j'ai peur. Oui j'ai peur mon père. Peur de ce que je suis, peur de ce que je suis devenue. Ce que j'ai subi durant les trois jours suivant son acte ont été les plus abominables de ma vie. Je n'ai jamais autant souffert et pourtant ce soir je me sens plus forte que jamais, comme si la douleur m'avait fait renaître, m'avait ressuscité. Car oui j'ai bien cru que j'allais y laisser la vie. Me voilà devenue mon pire cauchemar. Je garderais cette cicatrice toute ma vie, cette morsure est le signe d'une vie de cauchemar. Et cette soif incontrôlable qui grandit en moi, je ne saurais la calmer. Mon plus grand désir se trouve en face de moi. Oh oui, pardonnez moi seigneur mais je ne pourrais résister plus longtemps. Mon corps le désire ardemment, je me demande même comment j'ai pu attendre aussi longtemps. Cette délicieuse odeur...

    Je n'eus pas le temps de finir, le père Davis arriva en courant et sortit le père Matthew du confessional. Il brandit devant moi une énorme croix et je l'entendis murmurer des prières.

    - Qu'es-tu devenue ? Une créature de la nuit, tu ne dois pas vivre ! Je suis désolée Morgane, mais je n'ai pas d'autre choix.

    - Pourquoi t'excuserais-tu ? C'est moi qui devrais m'excuser pour ce qui va arriver dans l'immédiat.

    Je me jetai sur lui précipitament, lui arrachant le cou et buvant à flot le liquide rouge et chaud qui lui servait de vie. Je m'en régalai, il me procurait un bien fou et à la fois une folle envie de faire un massacre. Lorsque j'en eu fini avec le père Davis, je m'attaquai au père Matthew, qui croyait être en sécurité derrière un banc. Il mourrut aussi rapidement et je me désaltérai bien vite.

    Désormais, on ne m'appelle plus Morgane la sainte mais Morgane la cruelle ou Morgane la sadique, c'est vous qui voyez, les deux me vont.


    Qui je suis ? Comme si ça allait interesser quelqu'un !

    Je poireautais dans la salle d'attente depuis une bonne demie-heure. J'étais ici dans l'espoir, ou plutot dans l'intention, de devenir interne dans un hôpital. Ici le stock de sang n'est jamais à cours mais surtout, je pourrais tranquillement hoter la vie à ceux qui me le demandent. Après tout, ceux qui agonisent n'ont plus rien à craindre de la mort et de la souffrance. Autant en tirer profit. Le tic-tac perpétuel de l'horloge ne semblait en rien dérangeait ceux qui travaillaient ici et je me demandais comme ils faisaient. C'était à devenir complètement maboul. Ma patience avait des limites, certes et je me jura de bousiller ce maudit appareil dés que je serais engagée, car je le serais sans nul doute. Je savais être très persuasive. On m'avait donné le numéro 9, très significatif à mes yeux, Ce fut le jour où j'étais morte et où j'avais ressuscité en un être beaucoup plus forts et beaucoup moins stupide. L'homme portant le numéro 8 devait s'être présentée depuis une bonne quinzaine de minutes et semblaient encore contester l'avis des embaucheurs. Si ça n'avait tenue qu'à moi, il serait déjà en train de pourir au fin fond d'une cave pleine de rat, son sang dégoulinant sur le parquet. Sadique, oui, et encore là c'était gentil comme proposition, attendez de savoir ce que j'ai fait par le passé.

    - Numéro 9 ! appela une jeune femme un peu replète, les cheveux bruns en bataille, comme si elle ne s'était jamais coiffée de sa vie.

    Je me levai et m'approcha du bureau, présentant mon faux CV sur la table ainsi que les fausses recommandations à l'embauche de patrons qui n'avaient jamais existé. Elle regarda mon CV en détail et décida de me questionner en détail comme si elle trouvait louche qu'une fille comme moi ait un tel CV.

    - Nom, Prénom, Âge, Date et Lieu de Naissance ?

    - Valaya, Morgane, 27 ans, 29 Mai 1969, Sydney, Australie, mentis-je en gardant une expression neutre sur le visage.


    - Expériences professionelles autre que la médecine ?

    - J'ai travaillé en tant qu'assistante vétérinaire dans un salon à Melbourn pendant trois ans, puis je me suis tourné vers l'assistance sociale, en postulant pour être garde d'enfants dans une crèche toujours à Melbourn. Puis je suis revenue à Sydney il y a peu pour devenir pompier mais on m'a dit que je n'avais pas la carrure approprié alors j'ai voulue devenir interne et j'ai suivi une formation pendant deux ans pour au final me présenter ici.

    Elle me jaugea du regard puis reporta son attention sur la feuille et sur les recommandations. J'avais répété mon rôle à la perfection, même si je n'en avais pas besoin. Dés ce soir, elle partirai pour l'autre monde.

    - Je ne vois aucun défaut, vous êtes prise. Remplissez et signez simplement ce formulaire et présentez vous avec ce badge près de la salle 120. On vous dira quoi faire, elle me donna le tout et me rendit mes papiers avant de tonner d'une voix terne et lasse: Entretien à l'embauche terminé ! Vous pouvez partir !

    Il y eut des protestations et des jurons ce qui produisit un grand remue-ménage, un affirma même qu'il ne partirait pas tant qu'on ne m'aurai pas renvoyé, se jugeant beaucoup plus apte à ce boulot qu'une gamine. Heureusement, la sécurité les mit dehors, sinon je me serai jeté dessus sans hésitation. Je pris un stylo et remplit le formulaire sur le bureau. C'était à peu près les mêmes questions que l'infirmière m'avait posé, hormis une ou deux que je remplis à la va-vite sans craindre que l'on découvre la vérité ou non. Dans tout les cas, je n'allai pas rester plus de trois mois avant de partir sans donner de nouvelles. Une fois le formulaire rempli et signé, je me dirigea vers la salle 120 et pris tout le nécessaire que l'on me tendit. Les clés de l'hopital, tous les codes pour les ascenceurs, une blouse, une étiquette que l'on tamponna à mon nom et ma photo - que l'on prit sans mon accord mais passons -ainsi qu'un bipeur en cas d'alerte. Je repartis de l'hopital, je commençais l'après midi même or c'était le matin et je pouvais bien m'offrir un petit en-cas, enfin en-cas, façon de parler. L'infirmière aux cheveux en brousailles passa à ma suite dans un élan pressée en me dévisageant du regard. J'attendis qu'elle franchisse le portail et entrepris de la suivre, ce qui fut une partie de plaisir vu qu'elle habitait juste à côté.

    - Excusez moi mais vous avez laissé tomber ça !

    Je lui souris en lui montrant sa montre, ironiquement et m'avança à petits pas vers elle.

    - Qui êtes vous ?

    Je poussai un profond soupir, pathétique !

    - Vous avez déjà oublié ? Vous avez la mémoire courte dites-donc ! Et on veut me faire croire après ça que les humains sont intelligents ! Je suis Morgane Almonda Valaya, native de Sydney en Australie. Mon âge par contre je ne m'en souvins plus, j'ai arrêté de compter il y belle lurette. Mais c'était il y a environ 110 ans ?... bref ça fait un bail. Mais nous ne sommes pas là pour ça ! Si j'ai bien calculé, c'est l'heure du déjeuner. Ca tombe bien, j'ai une faim de loup et vous m'avez l'air appétissante.

    J'aperçus l'horreur sur son visage mais elle n'eut pas le temps de hurler. Par contre, je fus déçu, elle n'était pas aussi délicieuse que mes autres proies, je suis d'une nature gourmande et cette gourmandise là m'a laissé un goût amer. Tant pis pour elle ! Je n'aurai qu'à trouver d'autre jouets.
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Dernière édition par Morgane A. Volturi le Jeu 20 Aoû - 11:16, édité 11 fois (Raison : .)
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MessageSujet: Re: Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo   Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo Icon_minitimeVen 14 Aoû - 21:20

    Bosser en équipe ? Et puis quoi encore !

    Ce n'était pas dans mes habitudes de rester quelque part plus d'un an, j'avais la facheuse habitude de toujours me volatiliser dés que l'on annonçait plusieurs cas de meurtres étranges qui survenaient dans la ville. Aussi pour ne pas porter l'attention sur moi, je m'évaporais aussi vite que le vent et ne réapparaissait que très rarement. Pourtant, je me trouvais ici depuis trois ans, j'avais trouvé une manière de contourner l'attention des humains d'une manière des plus subtile je devais me l'avouer. Je ne me nourissais que de pauvres sans-abris qui n'avaient plus rien à perdre et je leur faisais le plaisir de leur offrir une mort digne d'un roi. Certes, ils n'étaient pas très gouteux mais le jeu en valait la chandelle. Je me plaisais tellement bien ici en Italie, plus particulièrement à Volterra. Je n'avais pas mis bien longtemps pour assimiler la langue du pays, étant une imortelle j'avais tout le temps pour l'apprendre et pour la comprendre et en trois ans j'avais eu le temps de me faire à toutes leurs pratiques étranges et leur coutumes. Cependant je n'avais pas eu à faire à leur nourriture qu'il qualifiait en un terme de "divine". Je devais pourtant jouer le jeu lorsque je flânais dans les rues et que l'on me proposait quelque chose, j'avais développé un don pour jouer la comédie dans ce cas là. Pourtant je me faisais la plus discrète possible, ne sortant que la nuit. Malgré ma soif constante virant souvent à l'obsession, je me devais de rester discrète sur les meurtres que je causais. Mais je ne m'en amusai que plus en voyant l'expression de totale hébétude et d'incompréhension que je voyais sur le visage des humains quand ils tentaient de trouver la source de tout ces ravages sanglants.

    Mais un jour où la tentation se faisait des plus sentir et où l'obsession virait au cauchemar, je ne pus calmer mes ardeurs. Je tua bien quatre ou cinq passants sur mon passage et dans ma hâte de calmer ma soif, je ne fis pas attention à cacher les détails d'un éventuel massacre au clair de lune. Ce n'est que devant toutes ces mares de sang et ces cadavres qui gisaient à mes pieds que je pris conscience de mon erreur. Heureusement nous étions au beau milieu de la nuit et les habitants étaient passé dans le pays des songes depuis un petit moment sans se douter que sous leur fenêtre un immense carnage venait d'avoir lieu. Je tentai le plus possible de dissimuler des traces de mon passage et rentra chez moi consciente que même en tant qu'immortel je me devais de partir. J'étais sadique mais pas masochiste. Ils retrouveraient ma trace et me tuerai certainement. Je me hâtai de prendre la fuite, mais bien évidemment celà ne fut pas aussi facile que ça, lors de ma fuite je me heurtai à un mur de pierre qui me retint d'un geste machinal de la main. Je contemplai l'homme qui m'avait stoppé dans ma fuite et réalisa que mes pires craintes risquaient de se réaliser.

    - Vous avez commis un très bel acte de sauvagerie ce soir ma très chère. Tout ça n'était pas très joli à voir, deux femmes et trois hommes ! Ce n'est pas une grande perte mais les habitants vont commencer à spéculer et nous serions très heureux si ils ne découvraient pas notre existence. Soif obsessionelle, c'est ça ?

    - J'ai tout fais pour me retenir mais leur odeur me rendait folle. Cependant ils étaient d'un délice et d'un arôme pur, les meilleurs que je n'ai jamais goûté ! Et si l'on devait venir à me tuer ce soir, je n'en serais que plus déçu. Mais je n'ai pas à choisir de mon destin entre vos mains.

    - Mourir ? Qui a dit que quelqu'un devait mourir ce soir ? Si je ne m'abuse vous possédez un don, non ?

    - Oui mais en quoi celà a-t-il un rapport avec tout ça ?

    - Ca a tout avoir ! Suivez moi, nous voudrions vous proposer quelque chose.

    Je suivis le beau Volturri. J'avais déjà entendu parler de cette famille étrange originaire d'Italie mais ce n'était pas pour cette raison que je m'y étais installée. Je n'avais aucune intention d'intégrer cette famille de vampires. Je préférais la jouer solo mais je ne sais pas pourquoi je présentais que cette fameuse proposition avait tout à avoir avec mon intégration à la famille. J'avais entendu parler de leur chef, Aro qui désirait ardemment avoir tous les vampires avec un don particulier à sa botte. Et ça je ne le voulais pas du tout, je ne voulais pas être contrôler comme un vulgaire chien à qui l'on ordonne des choses même si c'est contre sa volonté propre. Nous arrivâmes dans une très grande pièce où une dizaine de personnes qui m'attendaient le visage neutre.

    - Bienvenue chez les Volturi Morgane. Je suppose que vous savez pourquoi vous êtes ici ?, dit un homme au milieu de tout le clan, à en juger par sa place, ce devait être Aro.

    - Pour faire partie de votre clan !

    - En effet !


    - Et si je refuse, vous me tuerez ?

    - Non mais nous vous traquerons, surveillerons vos moindres faits et gestes. Ce n'est pas une vie avouons le surtout quand on a l'âme rebelle., il me souria.

    Je réfléchis, d'une part même si je devais rester en Italie pour rester avec eux je pourrais quand même exercer ma soif de sadisme sur de malheureux qui ne respectaient pas les règles ou sur de pauvres humains que l'on m'autorisera à dévorer.

    - J'accepte, dis-je d'une voix sombre.

    - Bien, Alec m'a dit que vous possédiez le don de télékinésie. Il nous sera très utile.

    Ainsi commença ma nouvelle vie chez les Volrurri.



Toi dans la vraie vie

    Prénom ou Pseudo: Wheales
    Age: C'est une chose qu'on ne demande pas aux demoiselles, voyons !
    Où as-tu connu le forum ? Dans un bled paumé au fin fond de l'arctique.
    Comment le trouves-tu ? Bon à croquer Cool
    Présence sur le forum: Régulière
    Avatar Megan Fox
    Codes ?
    Spoiler:


Dernière édition par Morgane A. Volturi le Lun 17 Aoû - 22:37, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo   Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo Icon_minitimeSam 15 Aoû - 18:30

Bienvenue !! =D

Mégan Fox <333
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MessageSujet: Re: Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo   Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo Icon_minitimeSam 15 Aoû - 22:35

Hey Kath, mon homonyme de prénom <3 (oui, c'est l'autre Cath xD)
Bienvenue au pays =)
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MessageSujet: Re: Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo   Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo Icon_minitimeDim 16 Aoû - 9:40

Bienvenue à toi!! ^^

J'espère que tu vas bien t'amuser car le forum a une bonne ambiance!! =P

X.O.X.O
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MessageSujet: Re: Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo   Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo Icon_minitimeDim 16 Aoû - 11:13

    Merci à tous pour ces chaleureux petits mots de bienvenue Very Happy
    Et merci à toi mon homonyme de n'amour que je nem tout fort Razz

    Et à bientôt en tête-à-tête ! Twisted Evil
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MessageSujet: Re: Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo   Morgane - Siempre me sentí demasiado, ahora vivo Icon_minitime

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