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 Tania Stuwart[Terminé]

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Tania Stuward

Tania Stuward


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MessageSujet: Tania Stuwart[Terminé]   Tania Stuwart[Terminé] Icon_minitimeLun 9 Mar - 21:01

Toi sur le forum

  • Tania Stuwart[Terminé] Baba10

    Je vais vous conter ma vie, une vie éternellement triste et qui ne m'a jamais fait de cadeau. Je vais vous faire part de mes souvenirs, heureux, malheureux, tendres, douloureux... Vous allez comprendre que j'ai du courage, que je suis une demoiselle avec une drôle d'histoire. Attendez-vous au pire, car je ne vais pas censurer les détails, vous devez tous comprendre. De ma naissance à ma mort, de ma renaissance à ce gouffre noir dans le quel je suis retombée. Vous vous dites que j'en fais tros... Que cela ne doit pas être si terrible...Bien sûr, en apparance je ne laisse rien parraître, mais une fois que vous aurez lu ma triste existance, peut-être arriverez-vous à lire cette souffrance qui règne dans mes yeux.

    Dix huit ans en arrière...

    Je venais au monde, petite fille aux yeux bleus comme l'océan. Une mère nommé Maria Stuwart et un père Maxime Stuwart. J'étais encore tros petite pour savoir se qu'ils étaient, tros innocente pour savoir se qui m'attendais. Doux petit ange, voila comment on me nommai, j'étais un cadeau du ciel c'est se qu'on disait. Je suis née en Italie, dans un hôpital comme tans d'autre, je ne faisais pas exception. Enfin, c'est se que je pensais. Mes parents étaient riches, des gens hauts placés dans ce pays mais je n'en avais que faire, je ne comprenais rien. Simple humaine que je suis, j'étais loin de savoir que des êtres autres que des humains vivaient dans le monde, je ne le saurais sûrement jamais. Mais revenons à moi, à ma vie. Quand je suis née, mon visage parru dans tous les articles et la presse. L'enfant prodigue comme disaient les journalistes...Pourquoi? La raison? Ma mère était censée être stérile, elle ne pouvait donc pas avoir d'enfant. Les médecins se trompaient, car un ans auparavant, alors que tous son espoir avait disparu, elle tomba enceinte sans le vouloir. Comme quoi, la vie nous réserve bien des surprises. Mon père était honnoré d'avoir enfin un enfant, mais dans son coeur régnait l'espérance que je sois un garçon. Mais la vie ne m'a pas faite ainsi, une fille j'étais et je resterais. Dés que je croisa son regard, je vis la déception ancré dans celui-ci. Je ne sais comment, ni pourquoi mais je sus rapidement que lui ne m'aimerai jamais réellement. Par contre, dans les yeux de ma mère, je voyais cette bonté, cette douceur et cet amour qu'elle me procurrerai. Certes, je n'étais qu'un bébé, une poupé fragile, de porcelaine. Pourtant, je savais déja se qui m'attendai. On dis que les enfants dés leurs naissances sont extrêmement intelligents, mais que, ils oublient tous en quelques heures. Moi aussi j'ai oublié mais pas entièrement...

    Petite fille que j'étais oublia après quelques heures les choses de la vie, je deviens un enfant comme les autres mais néanmojns déja connue. L'étiquette de l'enfant prodigue allait-elle me coller à la peau? J'espérais que non... Vous savez, les bébés pensent aussi, ils ne sont pas bêtes, ils ne savent simplement pas s'exprimers comme les adultes. Allez savoir, moi je me souviens de quelques trucs de mon enfance alors que je n'étais qu'un bébé de quelques jours... Vous allez me trouver folle, mais je peux vous le jurer, jamais je n'oublierais ses choses qui m'ont troublées. Le regard de mon père quand il me prit dans ses bras, ce regard de déception que je ne sois pas un fils au lieu d'une fille. J'aurais voulu oublier mais cette image restera à jamais ancré en moi, comme si on me l'avait écris au fer rouge, brûlant, ardent sur la peau. Quand ma mère sorti de l'hôpital, elle engagea une nourrice pour s'occuper de moi, elle n'avait pas de temps à me consacrer car déja elle devait retourner travailler. L'amour d'une mère est étentielle pour grandire, moi, je ne l'ai pas reçue je l'ai juste vue dans son regard...Cela n'était pas suffisant. Mon père, lui, me prêtait que peux d'attention. Bien sûr, devant la press, j'étais sa petite fille chérie, son bébé qu'il attendait temps. Les apparances sont trompeuses, déja à cet âge la je le comprenais. Ma nourrice s'occupait bien de moi, mais elle ne remplacera jamais ma génitrice absente et ce géniteure déçu. Malgrés moi, je grandissais, je devenais une petite fille fragile, en manque de ses parents. Pourtant, j'appris extrêmement vite à sourire... Des petits sourires furtifs au début, puis de plus en plus lumineux, grands, beaux.

    Ce sourire d'enfant innocent que je garderais toute ma vie...Un sourire qui apelle au secour sans que personne ne le comprenne, même pas moi d'ailleurs. Ce sourire ne s'éffacera jamais de mon visage, plus tard, je garderais cette sale habitude. Sourire pour plaire...plaire pour un simple sourire. Très vite, on s'aperçu que j'étais extrêmement maladroite et active, que je bougeais dans tous les sens. Quand je ne savais pas marcher, je rampais sur le sol, dés que je su tenir sur mes jambes je courrais partout dans ma grande maison. Malheureusement, il n'était pas rare que je tombe, me cogne la tête bien plus que les enfants normaux. J'étais une Miss Maladroite... Mes parents n'étaient jamais la pour voirs mes chutes, ils étaient toujours au travail, me laissant seule avec ma nourrice, avec mes appels de détresses incompris des autres. J'avais hérité des cheveux de ma mère, blonde comme les blés, des cheveux brillants parfois lisses, parfois bouclés. J'avais néanmoins les yeux de mon père, des yeux d'un bleu océan, azure sublime. Des yeux profonds, qui, derrière cette beauté, cachait une souffrance, un manque qui gradissait avec les années. Quand ma mère rentrait du travail, je tendais les bras vers elle, elle me prenait dans ses bras mais tous simplement pour me mettre dans mon parc. Son amour serait-il déja envolé? J'en avais bien l'impression... Mon père, lui, venait simplement déposer un baiser sur mon front puis partait dans son bureau... Et moi dans tous sa? Ben, je regardais dans le vide et je souriais. Parfois, mes parents me demandaient pourquoi je souriais. Je souriais pour ne pas pleurer...Mais la encore, j'étais tros jeune pour le comprendre. Pourtant, déja à cet âge, j'étais courageuse. Quand je tombais, je gémissais mais ne pleurais pas. Il était rare de voir mes yeux océans versés des larmes salés sur mes joues d'enfant.

    L'innocence est une chose extrêmement rare, une chose que l'on perd avec le temps malheureusement. Comment la reconnaître? Chez un adulte c'est impossible, chez un adolescent aussi. Plongez votre regard dans celui d'un enfant, un petit garçon ou une petite fille, la, vous verez briller une petite flamme qui danse. Cette flamme s'éteind au fur et à mesure que nous grandissons, moi, je l'ai toujours gardé en moi...cette flamme c'était celle de mon espoir.

    Tania Stuwart[Terminé] Enfant10

    -Cinq ans plus tard.

    On grandit, je grandis...Je deviens une petite fille de cinq ans, cinq années d'appel de détresses, cinq années ou personne ne daigne comprendre se que mon si beau regard veut réellement dire. Celui-ci veut simplement dire: Aime moi, regarde moi, prend moi dans tes bras, sourie moi, sois heureux... Mais pour eux c'était un regard d'enfant, tous simplement. Souvent, je sortais avec mes parents pour me montrer aux journalistes, dire que j'étais bien, que je vivais bien. Mais voila, je mentais, je n'étais pas heureuse. Pourtant, je souriais, mon dieu que je souriais. Ce sourire ne quittait jamais mes lèvres, sans cesse, je courrais dans tous les sens essayant de me montrer le plus joyeuse possible. Cela exapérait mes parents, ils disaient que j'étais une pile électrique, au moins, ainsi, j'attirais leurs attention. En grandissant, je me montrais de plus en plus maladroite. Je tombais de mon lit, les potaux et les arbres n'étaient pas mes amis, je foncais sans cesse dedans... Mais je ne pleurais pas ou rarement... Pour le moment, ma vie n'était basé que sur des appels de détresses, des sourires pour cacher mes larmes. Une petite fille comme les autres mais plus gâter... Pour essayer de masquer le manque de leurs présences, mes parents me payèrent des cours dans une grande école, des cours de piano, de langue, de chant et de gymnastique. Malgrés ma maladresse, je me montrais très souple, mais aussi intelligente pour mon âge. Je m'appliquais dans tous les domaines, essayant de rendre fière ses parents absents pour mes démonstrations de piano ou la remise de mes bulletins. Je gardais toujours l'étiquette de l'enfant prodigue, mais je n'en avais que faire. Moi, se que je voulais c'était eux, eux qui étaient si souvent absents, eux qui ne voyaient pas se que je réclamais le plus au monde...leur attention!

    C'est alors que vient un jour que je me souviendrais toute ma vie, je suis marqué physiquement comme mentalement. On était le 06 Mars, j'étais allongée dans mon lit d'enfant, je dormais car il était tard et j'avais eu une dure journée. Je n'entendis pas ma fenêtre s'ouvre doucement, je n'entendis pas cet homme pénétrer dans ma chambre silencieusement. Celui-ci tenait un flacon dans sa main ainsi qu'une serviette, alors qu'il approchait, j'ouvris doucement les yeux comme sortie de mon si beau rêve. Je pensais que c'était mon père, qui pour une fois, venait me dire bonsoir. Je me trompais... Je sens une main se plaquer contre ma bouche et mon nez, je gémis, je me débat. Rien à faire, je me sens doucement sombrer dans l'inconsience, comme si j'y étais obligée. J'ai essayé de garder les yeux ouverts, mais malgrés moi, je me suis endormie la peur au ventre, le coeur battant. Une lettre posé sur mon oreillé disait ceci

    Citation :
    "Vous reverez votre fille une fois que vous nous aurez versez 10 000 000 000 d'euros,
    attendez notre coup de fil, n'apellez pas la police ou la petite ne survivera pas."

    Oui, je venais d'être enlevé pour une histoire d'argent. Si seulement cela c'était arrêté la, si ils c'étaient contentés de me ligotter, m'enfermer dans une pièce sombre et humide... Mais non...

    Tania Stuwart[Terminé] Larmes10

    -L'enlèvement.
    {1er jour.

    Je ne sais pas combien de temps je suis restée endormie, mais je n'ai pas rêvé, j'avais l'impression d'être morte simplement. Couchée sur quelque chose de dur, cela me réveilla petit à petit. Je sentais le froid s'engouffrer dans ma petite nuisette en soie, celle que ma mère m'avait offerte deux semaines avant. Mes jambes tremblaient, j'avais froid mais surtout, j'avais mal à la tête. J'avais l'impression que quelque chose m'était rombé sur le crâne, laissant une douleure horrible tembouriner à l'interrieur. Me réveillant doucement, je pose ma petite main sur ma tête, je vois trouble, j'ai encore du mal à réaliser ou je suis et se qui c'est passé. Rapidement, mes souvenirs reviennent, je me souviens de cet homme qui était entré dans ma chambre. Je commence à paniquer, mes yeux cherche un endroit famillier mais je ne vois que de la brique, une petite chaise dans un coin et un genre de seau dans l'autre. La pièce est sombre, fort sombre mais un très léger filet de lumière pénètre dans celle-ci grâce à une brisque légèrement fendue. Je m'approche de celle-ci, de peur de rester dans le noir, peur de cet endroit inconnu et froid. Ou j'étais? Je commence à apeller mes parents, aucunes réponses, juste l'échos de ma voie qui frappe les parois rocheuses. Assise sur la brique, je plie mes genoux sur mon ventre et je pleure. Pourquoi m'avait-on amené ici? Je n'en avais aucune idée à cette époque, j'étais bien tros jeune. Le vent venait chatouiller mes jambes nues, me faisant ainsi grelotter, j'essayais de me tenir chaud sans y arriver. Mes yeux observaient le noir, j'avais l'impression de voir les ombres que je considérais comme des monstres. Venait-on me chercher? Ses ombres étaient-elles méchantes? J'avais peur d'elles, enfin, avant que lui n'arrive... Je ne sais combien d'heure j'ai passé dans cette pièce vide, petit à petit, l'obscurité devenait moins noire, mes yeux s'habituaient à celle-ci. Mon ouïe se focalisait sur les moindres sons... Je pouvais entendre quelques gouttes tombers sur le sol dans le coin gauche, parfois, le vent frappait si fort ma peau que j'entendais un sifflement. Les canalisations faisaient beaucoup de bruit aussi, des craquements, des glouglou, des plic-ploc...

    Les heures passèrent, cela me semblait des années. Je pensais à mes parents, je me demandais si ils savaient ou j'étais, si c'était eux qui avaient tous prévus. Des idées plus farfelues les unes que les autres, je n'étais qu'une enfant, je ne pouvais comprendre la réalité. Le faite qu'on enlève des enfants pour l'argent, que l'être humain est capable de choses horribles, mais sa, j'allais le découvrire à mes dépents. Alors que j'étais plongé dans mon silence, je comptais les gouttes qui tombaient sur le sol. C'est alors que des bruits de pas résonnèrent dans se qui semblait être l'extérieur, je redresse brusquement la tête, venait-on me chercher? Me délivrer? Une porte s'ouvre, je l'avais remarqué déja mais je pensais qu'elle était condamnée vu que en voulant l'ouvrire elle était restée fermée. Apparemment, je m'étais trompée... Un homme arrive avec un morceau de pain en main, celui-ci n'avait pas l'air frais, puis, je n'allais pas faire ma difficile j'avais faim. L'homme était grand mais portait un genre de chapeau qui cachait son visage, il avait l'air fort et me faisait peur. Il m'approche, moi, je le regarde et je tremble. Il me tend alors le morceau de pain, je le regarde avec un air angoissé mais je tend la main et le prend. Je mord dedans, mais à peine mordu, je recrache celui-ci. Il avait un gout de moisi...Grave erreur, alors que je recrachecelui-ci, je sens une main s'applatire sur ma joue. Il crie des mots que je ne veux plus me souvenirs, il frappe encore et encore au point que je tombe dans l'inconsience, encore une fois. Mon petit corps était étendu sur le sol, mon visage fermé comme si il refusait de revivre. Plus de sourire, juste du sang dans mes cheveux blonds, sur ma nuisette en soie.





Dernière édition par Tania Stuward le Mar 10 Mar - 9:47, édité 16 fois
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MessageSujet: Re: Tania Stuwart[Terminé]   Tania Stuwart[Terminé] Icon_minitimeLun 9 Mar - 21:02

  • Je me réveille deux heures plus tard, j'avais si mal...Mon visage était gonflé, j'essaie de me redresser mais je tremble de tros. Je vois un verre d'eau posé près de moi, c'est à peine si je ne me jette pas dessus. Je bois l'eau d'un seul coup, j'avais si soif. Une fois fais, je pose le verre sur le sol la ou il était, je vais de nouveau m'appuyer sur le mûr ou la lumière filtrait. Maintenant, je n'avais plus peur des ombres mais bien de cet homme, je regardais la porte avec la crainte qu'elle ne s'ouvre une seconde fois. Une heure passa, j'eu alors besoin d'aller au toilette, mais ici, il n'y en avait pas. Je regarde alors la pièce, je revoie le seau, toujours à sa place. J'essaie de me retenir au début, mais finalement, je crus que ma vessie allait exploser. Je me lève fragilement et me dirige vers celui-ci, j'observe le seau avec crainte, et si il m'attaquait lui aussi? Néanmoins, ne sachant plus me retenir, je prend le risque. Une fois soulagée, je retourne dans mon coin, j'avais mal mais le sang ne coulait plus néanmoins mon visage était bien gonflé. Je n'avais jamais été frappé, la, j'allais devoir m'y habituer.... Je ne sais pas combien de temps passèrent, mais finalement, je fermis les yeux pour m'endormire à même le sol en tremblant. Un bruit sourd me réveilla, je lève doucement la tête quand quelque chose m'attrape par le bras et m'étend sur le sol. Je revois cet homme, mon bourreau. Il pue l'alcool, comme mon père quand il a tros bu même si c'est rare chez mon géntiteur. Je veux au début crier, mais une main se plaque sur ma bouche et je faillis m'étouffer. C'est alors que je ne peux plus bouger, mon visage meurtri par les coups se réveil, les larmes roulent de mes yeux. Il est tros fort pour moi... Je sens une main lever ma nuisette, je me débat de nouveau mais cette fois il me frappe encore. Je n'ai plus de force, je n'ai pas la force de me débattre. Se qui suivi est horrible, il abusa de moi sous la force, les coups, la douleure. Quand il parti, j'étais allongée sur le pavé en larme, je gémissais, je saignais. Je sentais du sang rouler sur mes jambes, couler de mon visage, lui, il avait l'air heureux car il rigolait en lancant des insultes. Moi...je ne souriais plus.

    *{2eme jours.

    Je n'ai pas dormi de la nuit, j'avais peur que la porte ne s'ouvre encore. Pourquoi faisait-il cela? Avais-je fais quelque chose de mal? Bonne question... Mes yeux ne brillaient plus, pourtant, je gardais cette flamme dans mes yeux. Une flamme que j'aurais toujours, la flamme de l'espoir. J'entendais une télévision marcher au dessus de ma tête, moi, je n'osais même pas bouger. J'avais mal, j'avais faim et soif. La joue posée sur le sol froid de ma pièce, je regardais un point fixe comme si de rien n'était. Je tremblais de froid, mes yeux se fermaient doucement mais je luttais contre le sommeil pas peur de voir la porte s'ouvrire. J'avais mal partout, des blessures profondes. Ce jour la fut comme celui d'avant, il arriva dans la pièce et de rage que mes parents n'aillent pas encore payés, il me batti à coup de ceinture dans le dos. A la fin, je saignais tellement qu'il s'arrêta craignait de perdre son otage. Puis, il alluma une cigarette et cracha la fumé dans ma figure, moi, je pleurais, je gémissais. Alors qu'il me disait de me taire, je n'y arrivais pas, j'avais bien tros mal. Comme je ne pouvais stopper mes gémissements, il écrasa sa cigarette sur la paume de ma main droite et je pousse un hurlement. Savez-vous se que sa fait quand vous avec une cigarette qui s'enfonce dans votre chaire? Moi si...J'en aurais toujours la marque. Sous la douleure, je m'évanouie, encore. Je n'étais pas forte, je n'avais que cinq ans après tous. Le soir, tous recommenca, une fois de plus sous l'emprise de l'alcool il pénétra dans ma pièce et abusa de moi. Il voulait se venger sur moi disait-il, que mes parents ne m'aimaient pas vu qu'ils n'avaient pas encore payés. Je ne voulais pas le croire... Non, impossible...

    *{3,4,5 et 6eme jours.

    Entre les viols, les tortures, les coups, la faim, la soif, la fatigue...je ne savais plus quoi faire. J'avais un ami, vous savez, le genre d'ami qu'on s'invente quand la solitude vous fait devenir folle? Et ben voila, c'était lui mon ami. Il se nommait Pépito et il disait qu'il allait me protéger mais à chaque fois lui aussi avait peur alors il se cachait. Quand le loup venait, car c'est ainsi que je nommai l'homme au visage caché, je ne parlais plus à Pépito car j'avais peur que lui aussi on le frappe. J'étais faible, extrêmement faible. Mon corps était meurtri par les mauvais traitrements que l'on m'infligeais, je garderais des marques à vie. Des brûlures de cigarettes, des cicatrices du à la ceinture qui s'abattait sur mon dos mais mentalement, je gardais l'espoir. Cet espoir de revoir mes parents, de me réveiller, que ce n'était juste qu'un vilain cauchemard. Je n'avais plus vue la lumière du soleil depuis des jours, je mangeais à peine et je ne tenais plus sur mes jambes. Je me contentais de ramper sur le sol, de parler à Pépito et de rire avec lui quand le loup n'était pas la. Parfois, on parlaient de mes parents, à Pépito, je disais tous. Je lui disais que j'aimerais les revoires, je lui demandais parfois si on allaient mourire et il me disait qu'il ne savait pas. Sa me faisais peur de mourire sans mes parents, je voulais pas mourire moi. Parfois, j'essayais de me lever pour aller vers mon seau, mais je n'y parvenais pas alors je ne savais pas me retenir. Dans ses cas la, quand le loup revenait, il me frappait encore en disant que j'étais une sale fille et moi je pleurais. Bientôt, je n'eu même plus la force de ramper, je restais couchée sur le sol et Pépito venait se mettre près de moi. Il avait mon âge Pépito, il était de ma taille et avait les cheveux bruns et des yeux verts emmeraudes. Il rigolait toujours et voulait toujours jouer, mais bientôt, je ne pu continuer à rire avec lui ni même à jouer à cache-cache...

    Depuis combien de temps j'étais dans cette pièce? Bonne question, je ne comptais pas les jours, je n'en avais pas l'occasion. Tous se que je sais, c'est que j'avais du mal à respirer, je toussais beaucoup et j'avais mal, si mal. Mon ami s'inquiétait pour moi, mais me disait que le loup ne me mangerait pas car j'étais malade. Dans un sens cela me rassurais, ainsi, je n'aurais pas bon gout et il ne voudrait pas me croquer. Je passais mes journées couchées sur le sol, le loup venait de moins en moins me voir, sûrement parce que je ne réagissais presque plus à ses tortures. La nuit était tombée, je le savais car le rayon de soleil qui filtrait dans la pièce avait disparu. Alors que j'étais incapable de réagire, de bouger et même de me nourrire, j'entend des fracas dans la pièce au dessus. Des cris, des coups de feux... Je sursaute mais ne sais pas bouger, mes yeux étaient à demi ouverts, venait-on enfin me chercher? Et si c'était des autres loups? Le silence...Puis, des bruits de pas vinrent vers ma pièce, mes quatres mûrs...Pépito se cache, moi, je ne bouge pas quand la porte s'ouvre brutalement. C'est alors que je vois des hommes en uniformes arriver, un de ceux-ci crie qu'il m'a trouvé, qu'il fallait une ambulance tous de suite. Je le regarde, serait-il un mouton? Il approche doucement de moi, me regarde et ses yeux expriment clairement de la pitié. Je lui sourie alors, j'avais compris, il était le mouton qui venait me délivrer des griffes du loup. Celui-ci me soulève mais je gémis le nom de Pépito, alors que je le cherche des yeux, mon ami a disparu. Se serait-il enfui? Je ne sais pas, mais j'espérais qu'il allait retrouver ses parents, ou que les moutons l'avait lui aussi sauvé. Doucement, je me sens emmené vers l'extérieur. Quand je sors de la maison, car oui, j'étais enfermé dans une simple cave, la lumière de la lune et des étoiles m'éblouie. Pourtant, j'entend les cris de mes parents, a ce moment la, je tombe dans un puit sans fond.

    Tania Stuwart[Terminé] Fille10


    -Les apparances sont trompeuses.

    Je suis directement ammené dans un hôpital le plus proche, soignée, je suis en piteuse état. Selon les médecins, je n'aurais pas su tenir deux jours de plus, que les policiers m'avaient retrouvés à temps. Malheureusement, j'étais marqué à vie. Six cicatrices de brûlures de cigarettes dans les paumes de mes mains. Deux à droite et quatre à gauche... Dix neuf cicatrices dans le dos du à la ceinture qui s'abattait régulièrement dans mon dos, et, neuf sur les jambes. Néanmoins, cela n'était rien comparé à la souffrance mentale que j'ai enduré et que j'endure toujours. Un monsieur venait souvent me voir, c'était un psy. Il me posait des questions, moi, je lui parlait de Pépito. Malheureusement, il me dit que celui-ci n'existait pas, que je l'avais inventé mais je ne le croyais pas! Non mais, il était réelle Pépito, sans lui, je serais morte! Alors, j'engueulais le monsieur et celui-ci s'exusait. Il me donnait des dessins pour que je colorie cela me changeai les idées... La nuit, je dormais que rarement, j'avais toujours peur de voir le loup arriver. Quand j'arrivais à trouver le repos, je faisais des cauchemards et me réveillais en hurlant. Malgrés cela, très vite, je me remis à sourire à mes parents et rire avec eux. Pourtant, j'avais maintenant peur de mon père. Dés qu'il m'approchait je reculais, les médecins disaient qu'il devait me laisser du temps, mais moi j'avais peur de lui. Pas que je ne l'aime pas, mais il me faisait penser au loup. Quand enfin, je pu rentrer chez moi, je ne voulais pas dormire dans ma chambre. J'avais bien tros peur qu'une fois de plus il vienne me chercher, on avait beau me dire qu'il était en prison, je ne les croyais pas. Je dormais avec ma mère, mon père, lui, dormait dans le divan... J'aurais voulu lui faire confiance, mais j'avais peur, tros peur. Pour ne pas montrer cette peur qui me dévorait de l'interrieur, je souriais, je courrais dans la maison dés que je su de nouveau rester sur mes jambes. Bien vite, je recommence à tomber partout, me prendre le bord des tables, trébucher dans les escaliers. Mes parents pensèrent que j'étais guérrie alors que justement, je n'étais rien de cela...

    Mes parents se remirent à travailler, moi, je repris une vie avec un semblant de normalité. Je ne dormais presque plus mais je ne disais rien à personne, je sanglottais la nuit ma main sur ma bouche, comme j'avais appris à le faire avec le loup. Puis, quand le réveil sonne, je me levais l'air de rien en souriant. Un jour, alors que j'avais huit ans, ma mère s'approcha de moi et posa ses lèvres sur ma joue. Caressant ma jolie tignasse blonde, elle plongea ses yeux verts dans mes yeux bleus, elle ne souriait pas, elle semblait avoir pleuré toute la nuit. Moi, trop heureuse de ce signe d'affection, je lui sourie merveilleusement bien. C'est alors que c'est le choc, elle m'annonce qu'elle a un cancer en fase terminal. Bien sûr, elle cherche des mots plus simple vu que j'étais encore petite. Deux mois plus tard, elle mourru dans un lit d'hôpital et je me suis retrouvé seule avec mon père. Celui-ci fut énormément affecté par la mort de sa femme, il plongeait les yeux fermés dans son travail me laissant avec ma nourrice. Je me retrouvais une fois de plus avec ce manque d'affection évident, mais caché sous ce sourire d'ange. Je faisais se que je pouvais pour aider celui-ci, j'avais de bonnes notes à l'école, beaucoup d'amis...J'essayais d'être calme quand il était la, ne pas courrire dans tous les sens même si c'était très dur. Mais lui, il ne semblait ne rien voir, alors, j'en souffrais énormément et la nuit je pleurais pour lui, avec lui le départ soudain de ma mère. Elle me manquait tellement... Je m'en rendais compte en regardant sa photo sur ma table de nuit, parfois, je passais mes petits doigts sur la surface lisse du cadre espérant retrouver la chaleure humaine qu'elle me procurait. Mais, le cadre était froid, froid comme la neige...

    Voila un ans que ma mère est morte, j'avais presque dix ans à présent, je comprenais mieux les choses. Je dormais toujours aussi mal, je faisais toujours ses horribles cauchemards et j'étais suivie par ce même psy qui ne semblait pas comprendre ma détresse. Je voyais mon père sombrer lui aussi, mais cela me faisais peur car il était de plus en plus triste, découragé. Allait-il m'abandonner? J'en avais bien peur. Un jour, alors que je revenais de l'école, des voitures de police se trouvaient devant notre villa privé en Italie. Curieuse, je veux rentrer chez moi, les policiers je les apellais toujours les moutons, une habitude que j'avais maintenant. Alors que je veux passer, un des policiers m'en empêche, je le regarde droit dans les yeux et je comprend. C'est étrange comme j'ai cette facilité de lire dans le regard des gens, de savoir se qu'ils veulent me dire sans le faire, alors que eux, ne savent rien lire dans les miens. Je tourne lentemement les yeux vers la porte de la villa, avant même qu'il aille pu me retenir une seconde fois, je me mis a courrire vers l'interrieur en hurlant après mon père. Je trébuche et tombe en avant, c'est à ce moment la qu'un brancard sors de chez moi poussé par des hommes. Un corps était posé dessus, couvert d'un drap blanc, je hurle encore et encore et je pleure. Il m'avait quitté, il n'avait pas le droit de me quitter pourtant il l'avait fait. Avais-je aussi peux d'interet à ses yeux pour qu'il s'en aille sans moi? Apparemment... Un des moutons me rattrape et me soulève, je ne me débat pas, mes yeux rivés sur le drap blanc.

    Je sais que je n'ai jamais eu réellement de valeur à ses yeux, la déception dans son regard lors de ma naissance restera à jamais gravé dans ma tête. Puis, je n'avais que onze ans quand il quitta cette terre pour retrouver celle qu'il aimait. Et moi dans tous sa? Avait-il sulement pensé à moi? Sans père, sans mère... Je ne suis pas la seule dans ce cas, je le sais, mais j'avais besoin d'eux. Je regrette de ne pas les avoirs serrés dans mes bras plus que je ne l'ai fais, je regrette de leurs avoir attirés des problèmes avec le loup, ma maladresse, mes sourires cachant ma détresse. Mais cela est-il une raison valable pour me quitter? Pour lui...oui. Car d'un fusil il se muni, sur sa tête il le mit et sur la cachette il appuya.


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  • Tania Stuwart[Terminé] La10


    -Un sourire cache bien des choses.

    Après le décès de mon père, je fus envoyé chez mes grands-parents que je ne connaissais pas, je ne su d'ailleurs jamais la raison de cela. Je faisais une fois de plus la une des journeaux, des magazines. Ma vie avancait et moi, dans un sens, je faisais du sûr place. Mes grands-parents étaient gentils, riches aussi, attendrissant mais voila, moi, j'avais besoin de mes parents. Mon grand-père était comme moi, il cachait ses maux derrière des sourires, il était le seul à me comprendre et j'étais proche de lui. Ma grand-mère, elle, elle adorait me faire plaisir mais moi je ne lui en demandais pas tans. Avec eux, j'avais de l'affection, des moments tendres dont j'avais toujours rêvé mais pas avec eux. Je grandissais, je devenais une jeune femme, une fille aux yeux bleus océans, aux sourires doux, charmeurs, envoutants. Une demoiselle au visage d'ange, à la silhouette angélique mais au corps meurtri par le passé. J'étais d'une grande maladresse, mais toujours de bonne humeure. Néanmoins, les nuits, je les redoutais. Quand il était l'heure de dormire, je me réveillais en hurlant à cause de ses cauchemards et de ses moments passés avec le loup et Pépito. J'étais devenue intelligente, puis, j'avais la particularité de lire dans les yeux des autres. Comprendre se qu'ils voulaient me dire sans avoir besoin de parler, je ne lisais pas dans les pensées mais les yeux disent tellement de choses. Moi, je cachais ma peine, ma détresse derrière des sourires. Seule, je pleurais dans mon coin loin des regards des autres. Mon histoire était connue, malheureusement pour moi, cela ne m'aidai pas à oublier. Je ne parle jamais de mon passé, j'ai bien tros peur de mes souvenirs. J'ai maintenant dix huit ans, j'aime voyager et il n'est pas rare que j'aille de pays en pays avec mes grands-parents ou même seule ou avec des amies. Ma passion c'est le piano, j'y joue très bien et il parraît que j'ai de l'avenir dans ce domaine, mais je n'en ai que faire, je joue pour le plaisir de jouer. J'étouffe en Italie, j'ai besoin de respirer... C'est alors que je décide d'aller dans une petite ville paumé du nom de Forks, néanmoins, je fais souvent des allés-retours en Italie pour voir mes grands-parents.

    [i]Toi dans la vraie vie



      Prénom ou Pseudo:Tartine/Tani et encore d'autre XD
      Age:17ans
      Où as-tu connu le forum ?Haha
      Comment le trouves-tu ?moche, ideu-_- non je rigole super
      Présence sur le forum: ben quand mon internet foire pas tous les jours!
      AvatarKristen Bell
      Codes ? ok par Aaron
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